C’est accompagné de son épouse et des fils du canton Ellelem que Jean François Abiaghe Angoue a procédé, le mardi 13 Octobre 2020, à la remise d’un important don en matériels à la jeune garde dudit canton à l’aube de la rentrée des classes. En effet, sacs à dos, chaussures et vêtements ont été remis au président de l’association des parents d’élèves du village Alene Meboume. Un geste qui traduit la volonté de ce fils de la contrée de rendre à sa localité les bienfaits de son enfance.
« La société est un cadre d’échanges et d’entraide », rappelait à juste titre l’écrivain français Diderot. Une pensée empreinte de sagesse qui n’a semble-t-il jamais quitté le coeur de Jean François Abiaghe Angoue. Pour preuve, ce natif d’oyem précisément du canton Ellelem a laissé parler son cœur en apportant son soutien aux élèves de la contrée. En effet, bien que simple cadre d’administration publique, ce fils de la région a offert un important don en matériels constitué de vêtements et du matériel didactique à l’ensemble des enfants censés retrouver tout prochainement le chemin des salles des classes.
C’est le représentant de l’association des parents d’élèves (APE) qui a réceptionné ledit don. Occasion pour ce dernier d’exprimer sa gratitude au nom de tous les bénéficiaires et des fils de la région, à l’endroit de leur fils. « Les enfants du Canton Ellelem par ma voix, tiennent à vous remercier, pour votre admirable geste posé ce jour. De ce fait, les populations sous-intégrées dudit canton vous seront éternellement reconnaissantes. Nous souhaitons que de tels actes puissent avoir une longue route dans notre communauté », a-t-il déclaré devant le chef du regroupement d’Alene Meboume et des parents présents pour la circonstance.
Conscient de la précarité ambiante accentuée par la crise sanitaire liée à la Covid-19, Jean François Abiaghe Angoue, a complété son présent par la remise des masques médicaux aux populations du canton Ellelem. Une action solidaire qui traduit en acte la politique de partage prônée par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba et ce, encore plus dans ce contexte inédit où l’entraide des fils et filles de la nation les uns envers les autres, peut s’avérer salvatrice. Vivement que les acteurs de la vie publique puissent emboîter le pas.