C’est au cours d’une réunion qui s’est tenue le 26 janvier dernier que le ministre de la communication en charge de l’économie numérique, Alain Claude Bilie-By-Nze a annoncé la préparation d’un projet de texte sur la cybercriminalité dès mars 2017. C’était en présence de ses collaborateurs du Secrétariat général du gouvernement, des ministères de l’Economie, du Commerce, de l’Intérieur et de la Défense.
Selon nos confrères du site “Le Nouveau Gabon”, le ministre de la communication a affirmé qu’« En matière de législation, les attentes des acteurs qui s’investissent pour le développement de l’économie numérique au Gabon sont nombreuses, et concernent tant la cybersécurité que la protection des données ou la question de la couverture du territoire par les réseaux numériques ».
Cette loi qui sera soumise en mars prochain devant le Parlement gabonais résulte d’une multitude de difficultés non maîtrisées par les autorités en place. En effet, durant la période électorale « le ministère de la Défense nationale a commis un communiqué le mardi 30 août, indiquant que le pays avait fait face à trois types de menaces à savoir la cybercriminalité, les atteintes aux données à caractère personnel et l’importation illégale de matériel de télécommunication, satellitaire et militaire.»
Confronté à ceux qu’ils ont décidé d’appeler “des attaques”, en août dernier, le ministère de la Défense nationale dirigé à ce moment par Mathias Otounga Ossibadjouo nommé ministre du budget et des comptes publics depuis le 2 octobre 2016, avait préconisé une grande prudence concernant l’utilisation de l’application « Regab » lancée par un gabonais vivant au Canada. De plus, de nombreuses accusations ont été faites à l’endroit d’un présumé hacker ivoirien d’où la mesure de contrôle et de sécurisation des données des utilisateurs.
Après le nouveau Code de la communication entré en vigueur le 2 janvier dernier, place au projet de loi sur la cybercriminalité qui lui aussi, fera certainement couler beaucoup d’encre et de salive… Wait and see.
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oui c’est une tres bonne loi pour que les criminels ne font pas de n’importe quoi c’est le cas de ce criminel ivoirien recruter par un autre criminel gabonais ce vieillard ping qui pensait qu’il allait gagner l’election avec cette fraude. YAO DOIT PASSER LE RESTE DE SA VIE EN PRISON AU GABON , IL DOIT ÊTRE CONDAMNÉ À UNE PRISON PERPETRE.