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Le vendredi 28 avril dernier la communauté internationale a célébré le 40ème anniversaire de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM). Un événement marqué par l’organisation par le ministère des Affaires étrangères via la direction générale des droits de la mer d’une conférence avec à terme l’élaboration de plusieurs recommandations. 

C’est la salle de réunion de la résidence hôtelière Triomphal qui a servi de cadre pour la commémoration du 40ème anniversaire de cette Convention dite de Montego Bay. Un texte qui pose un cadre juridique sur les espaces maritimes en délimitant ce qui relève de la souveraineté des États et de la haute mer. 

Placé cette année sous le thème « Acquis et perspectives de la convention des Nations Unies sur le droit de la mer: 40 ans après », la célébration de cette anniversaire  ont été ouverts par le secrétaire général,Ginette Arondo epse Edzang ambassadeur, qui a tenu à rappeler l’importance que revêt ce texte. En effet, elle a pour but d’établir un ordre juridique pour les mers et les océans  favorisant l’utilisation pacifique des mers, la gestion équitable et efficace de leurs ressources ainsi que la protection et la préservation du milieu marin. 

La libre communication et circulation entre les pays, l’utilisation pacifique des mers, l’exploitation équitable et efficace des ressources, la préservation du milieu marin et la délimitation des différentes zones maritimes sont les objectifs étaient entre autres les objectifs à atteindre lors de cette rencontre. « Avec un domaine maritime d’une superficie d’environ 191 944 km et un linéaire côtier de 955 km les mosaïques d’écosystèmes littoraux et marins gabonais recèlent une biodiversité Inestimable» a indiqué le directeur général adjoint des Écosystèmes Aquatiques, Jean-Félicien Liwouwou.