Dans un entretien accordé au quotidien L’Union ce mardi 7 mai 2019, le ministre de l’Emploi de la Jeunesse de la Formation professionnelle de l’Insertion et de la Réinsertion, Porte-parole du gouvernement, Nanette Longa revient sur sa tournée dans tous les centres de formation et de perfectionnement professionnel relevant de sa tutelle. L’objectif de cette mission est de faire de la formation professionnelle un pilier principal du développement économique et social.
Le Gabon veut faire de la formation professionnelle un pilier du développement économique et social. C’est en substance ce que l’on retiendra de l’interview du ministre de l’Emploi, de la Jeunesse, de la Formation professionnelle, de l’Insertion et de la Réinsertion, Porte-parole du gouvernement, Nanette Longa parue dans L’Union de ce mardi 7 mai 2019. Le ministre de l’Emploi qui revient d’une tournée dans tous les centres de formation et de perfectionnement professionnel relevant de sa tutelle, a tenu à faire le point.
Le ministre de Formation professionnelle a précisé que cette tournée visait dans un premier temps à visiter les structures publiques de formation relevant de sa tutelle, de s’enquérir de l’état dans lequel sont réellement ces structures. Mais pas seulement. « Il s’agissait également de motiver le personnel sur l’approvisionnement des mécanismes et activités engagés en matière de formation professionnelle, avec l’appui des partenaires techniques et financiers que sont, entre autres la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD), AVIC et Eximbank », a confié Nanette Longa à L’Union.
Pour la Porte-parole du gouvernement, cette mission avait pour ambition de faire de la formation professionnelle un élément essentiel du développement. « La volonté clairement affichée étant de faire de la formation professionnelle un pilier principal du développement économique et social, conformément à la vision du chef de l’Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba », a-t-elle déclaré avant d’ajouter que cette tournée a aussi permis d’écouter les doléances des responsables de ces différents centres et la réforme sur la formation professionnelle. « Nous pouvons noter une meilleure appropriation de cette réforme qui prendra en compte les nouveaux standards internationaux, engagés avec le soutien des partenaires au développement », a-t-elle renchéri.