C’est à la faveur d’une déclaration faite le samedi 2 janvier 2021 que le Syndicat des enseignants contractuels de l’État gabonais (Seceg) a tenu à faire le bilan de l’année écoulée. Occasion pour ces derniers de réclamer le règlement intégral de leurs droits. Un véritable frein à l’épanouissement de ces enseignants voués à la tâche.
Après une année rythmée par la crise sanitaire liée à la Covid-19, l’heure était au bilan pour le Syndicat des enseignants contractuels de l’État gabonais (Seceg). En effet, le samedi dernier, les contractuels ont fait le point sur leurs activités menées tout au long de l’année écoulée. Tant sur l’impact de la Covid-19 que sur le contrat qui les lie à l’État Gabonais.
Placée sous le thème « Résilience citoyenne et solidarité syndicale », cette rencontre aura permis à Omar Faye et ses pairs, de faire le point sur les obligations des autorités publiques, notamment le Ministère de l’Education nationale, à leur endroit. À ce propos, les enseignants de nationalités étrangères venus en aide à l’État gabonais, ont attiré l’attention sur la bonification salariale.
À cela s’ajoutent d’autres points non moins importants que ces enseignants expatriés ont mis sur la table des négociations sans réponse. Il s’agit entre autres de la régularisation de leurs situations administratives, le paiement des rappels de leurs salaires et le paiement des services rendus à l’État gabonais. Un plaidoyer que Omar Faye entend mener jusqu’au sommet de l’État.