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Gabon: le CPPPL demande la mise en oeuvre du Fonds national de la presse

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Le samedi 21 août 2021 le Cercle des patrons de la presse privée en ligne (CPPPL) a tenu une assemblée générale à l’occasion de son premier anniversaire. Occasion pour Thierry Mebale Ekouaghe, président dudit collectif d’inviter le gouvernement à mettre en place le Fonds national de la presse afin de permettre aux médias en ligne de s’améliorer. 

Le CPPPL a, au cours d’une assemblée générale tenue le samedi 21 août 2021, célébré son premier anniversaire. Une célébration au cours de laquelle ces leaders de presse en ligne privée ont fait le point sur leur activité réunis autour de 3 points. Notamment, le respect de l’éthique et de la déontologie, la conformité des médias en ligne par rapport à la législation gabonaise mais également sur la viabilité des médias numériques.

Occasion pour le président de cette organisation Thierry Mebale Ekouaghe d’inviter les autorités gouvernementales à mettre en application le Fonds national de la presse voté et promulgué en 2005. « Ce Fonds d’aide s’avère être une des solutions à côté des partenariats, que les entreprises de presse devraient conclure avec les opérateurs économiques pour bénéficier de la publicité en contrepartie de la couverture médiatique de toutes leurs activités » a-t-il déclaré à notre confrère de Agencequateur.com.

Pour le Cercle des patrons de la presse privée en ligne, ce Fonds national pourrait être alimenté par une contribution de certains opérateurs économiques, comme c’est d’ailleurs le cas avec la redevance audiovisuelle et cinématographique (RAC) qui est un plus pour les médias publics. Gageons que cette requête soit entendue par le ministre d’État à la communication, Edgard Anicet Mboumbou Miyakou afin qu’il mette à exécution la subvention et permette ainsi à la presse en ligne privée de subsister.

Andy Marvine Nze

Fils de Lambaréné, passionné d'écriture et féru des réseaux sociaux, qui a à cœur d'informer sur l'actualité gabonaise et internationale. Avant j'étais chef de classe, maintenant je suis titulaire d'un Master en Sciences Politiques et relations internationales

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